Le blog d'une future ex-grosse

23 mars 2014....

J'ai crée ce blog en 2008, j'avais 25 ans. 

Je vais en avoir bientôt 32, nous sommes en 2014...

Je ne me souvenais plus de ce blog, j'étais en train de repenser à tout mon parcours jusqu'à aujourd'hui, quand tout à coup "future ex grosse" m'est revenu en mémoire...

J'ai tapé ce mot clé sur google, et miracle, je suis tombée sur mon propre blog! Je ne l'avais donc pas fermé! Après quelques galères pour retrouver adresse et mot de passe, me voici 6 ans après, à écrire un nouvel article. 

Ca ne sera pas forcément le premier d'une nouvelle liste, mais je me dis que s'il peut aider d'autres personnes comme moi, en souffrance avec son poids, alors il faut le faire. 

Je n'ai pas relu mon blog, juste les derniers commentaires, qui ne m'étaient pas parvenu, puisque j'avais fait une croix su ce blog, et n'avait plus rien ouvert jusqu'à ce jour.

Alors verdict, 6 ans après, suis-je devenue une ex-grosse???

Voici ce qu'il s'est passé durant ces 6 dernières années:

Après mon dernier article, en janvier 2010, je crois que j'ai fait une pause de tout, blog comme régime. Mais en fait, ça n'a été que le début d'une longue descente aux enfers pour moi. 

J'avais perdu ma mère un an auparavant et je commençais seulement à comprendre ce que ça voulait dire pour moi. J'ai mis plus de 4 ans à m'en remettre. Je suis devenue totalement éteinte, terne, triste. J'ai complètement râté la première année de vie de ma fille, ne parvenant quasiment pas à m'occuper d'elle, je pleurais sans cesse. 

Je n'ai cessé de grossir, car je ne mangeais pas : je bouffais. j'avalais des quantités impressionnantes de nourriture. Je me faisais de plus en plus de "bouffe régressive" (genre de la pâte à gâteaux crue), des purées, des trucs qui comblent et qui calent. et du sucre, toujours et encore du sucre. Retrouver ma mère en redevenant un tout petit mangeant ses petits pots et ses bonbons. Combler son absence en me remplissant de bouffe. 

J'ai dû progressivement arrêter le seul sport qui me plaisait : la voile. Je ne pouvais plus me bouger, ni rentrer dans ma combinaison d'ailleurs. Je ne sortais plus. Je ne m'habillais plus, toujours les mêmes vieux vêtements en forme de sac, pour me cacher. J'ai de plus en plus perdu confiance en moi. Alors comme je me trouvais moche, et bien je mangeais... Foutu pour foutu...

Oh il n'y a pas eu que du noir pendant ces 6 années. Des moments où je me sentais mieux, ou du moins j'en avais l'impression, même des nouvelles phases de régime qui ont fonctionné, un temps seulement.

Ma 2ème fille est née aussi, pendant cette période. Un grand bonheur. Mais à nouveau la fatigue liée à mon poids, l'amer constat de ne pouvoir courir avec la grande dans le jardin, j'avais mal partout... Et puis le thème de la maternité qui me rappelle cruellement que je n'ai plus ma mère moi, alors comment en être une??

En novembre 2013, j'ai atteint le poids de 108kg. 107.5 plus exactement, mais autant arrondir au supérieur! foutu pour foutu...

Que s'est-il passé alors à ce moment là? j'avais lié une amitié quelques années auparavant avec une super nana, psychologue de métier. Evidemment, hors de question de mélanger amitié et professionnel. Elle ne pouvait être ma psy. Mais elle a débuté une formation en hypnothérapie. J'étais un peu sceptique, et en même temps curieuse de voir si elle pouvait m'aider dans un tout autre domaine : l'arrêt du tabac. (ben oui, j'avais aussi ça comme problème, le tabac). Ayant besoin de patients pour se faire la main, je lui ai demandé si elle pouvait m'aider à arrêter de fumer, elle a accepté, mais il était convenu entre nous qu'il ne devait s'agir que de séance d'hypnose, pas de thérapie où je lui aurais exposé mes problèmes plus profonds. J'avais déjà eu ma dose de psychothérapie. Je ne voulais plus entrer là dedans. 

Nous avons fait 3 ou 4 séances. Impossible pour moi de vous dire comment ça se passe réellement. Ca me donne l'impression d'avoir été "reconfigurée". Elle m'a suggéré, sous hypnose, des tas de choses, toutes allant dans l'idée d'un mieux être, d'une vie saine, des images de pureté, de grand air, de bonne santé, de bonheur... 

Je me sentais très bien pendant ces séances, très bien aussi après. Mais je n'ai pas arrêté de fumer! Enfin pas tout de suite. Ce que j'ai compris, mais un peu plus tard, c'est que j'avais transposé toutes ses suggestions à mon problème alimentaire. Et pour ça ça a marché! Du jour au lendemain mes compulsions ont disparu. Je suis aujourd'hui capable de regarder un pot de nutella droit dans les yeux sans y toucher, mais surtout, sans en avoir envie. J'ai perdu 25kg depuis novembre 2013. Sans aucun régime. Je vous le jure. 

En fait, grâce à ces séances d'hypnose, j'ai eu envie d'une "vie saine". Après, chacun met ce qu'il veut sous cette expression bien sûr!. Moi ça signifiait en premier lieu, manger correctement. J'ai modifié mon alimentation. Je mange énormément de fruits et légumes, que j'achète chez un primeur qui fait d'excellents produits. plus question pour moi d'acheter en grand surface. Financièrement, je suis persuadée que j'y gagne, car même si les produits du primeur sont plus chers, ils ont un goût délicieux, nous n'en jetons aucun, comparé à ceux de grande surface qui pourissent avant d'être mûrs! 
Chacun de mes repas est composé d'une protéine, d'un féculent, et d'un ou plusieurs légumes donc, mais je trouve tout tellement délicieux que je n'ai plus besoin de rajouter différentes sauces ou des couches de beurre pour donner du goût! Mon estomac a réappris à reconnaître la sensation de faim, de satiété. Je fais également des écarts, bien souvent, mais qui ne résonnent plus de la même façon en moi. Je ne me culpabilise plus. Je me fais plaisir, une fois, puis je refais attention, je sais que c'est bon pour moi, pour ma santé physique, et mes petits écarts le sont aussi, pour ma santé mentale!

Je me suis également mise au sport. J'ai d'abord marché, marche rapide, car il m'était impossible de courrir. Puis de petits footing. Mais c'est quand même chiant le footing, franchement. Donc je suis retournée en salle : cardio et renforcement musculaire. 1 fois par semaine. Et puis dès que la météo le permet, on prend l'air, on se promène, on observe la nature, on ouvre nos poumons, on marche... J'ai repris la voile également, l'année dernière. Je fais donc un exercice régulier, mais je n'ai pas l'impression de me crever en allant au sport.

Tout a été très simple en fait. J'ai encore quelques kilos à perde, il va falloir que je mette la vitesse supérieur en terme de sport, et peut-être me mettre vraiment au régime, en augmentant les protéines pour me muscler, mais en diminuant les gras et les sucres... Et faire plus de sport. Mais j'y vais tranquillement.

j'ai également arrêté de fumer! Finalement 8 mois après mes séances d'hypnose. Ca a mis du temps, mais ça collait aussi avec cette nouvelle "vie saine" que je voulais vivre. POur ça, la cigarette electronique m'a sauvé la vie. Mais je n'entrerais pas dans les détails de mon seuvrage tabagique, ça n'est pas le sujet du blog.

Et j'ai tourné beaucoup de pages. J'ai accepté la mort de ma mère. C'est toujours douloureux, mais je vais de l'avant. J'ai enfin compris quel était mon propre statut de mère. j'ai beaucoup mûri, j'ai laissé de nombreuses choses derrière moi pour enfin aller de l'avant, je dirai même: enfin VIVRE.

Enfin, rien de tout cela n'aurait été possible sans le soutien de ma famille, de mes amis. Ma famille d'abord : ma moitié, nos filles. Un bonheur de tous les jours, un soutien de tous les jours, inconditionnel. Les amis aussi, les fidèles, toujours là, à l'écoute, ou prêts à vous changer les idées. C'est bon de vous avoir.

A vous tous et toutes qui vous bouffez la vie avec vos problèmes de poids, je ne sais qu'elle en est l'origine, ni quel conseil vous donner. j'ai juste envie de vous dire de ne pas baisser les bras, quel que soit votre objectif, donnez-vous les moyens d'y arriver. Mais n'oubliez pas de vivre. Les problèmes de poids ont la fâcheuse tendance à nous faire tout repousser. on se met au régime lundi, promis lundi c'est bon. On se dit qu'on sera belle en maillot cet été, oui, il reste 3 mois, ça va aller.  Et puis lundi c'est déjà aujourd'hui. Puis juillet arrivera aussi comme une fleur. Et on n'aura rien vu passer jusque là. J'ai perdu plusieurs années comme ça. Perdu oui. On ne rattrappe pas le temps perdu. Mais je ne perdrai plus une minute dorénavant.  

sans vous connaître, sachez que je pense à vous. Je ne me considère pas sortie d'affaire. Je pense qu'on ne sera jamais à l'abris d'une rechute, nous, "les gros", mais serrons-nous les coudes.
Ca m'aide de savoir que je ne suis pas seule à me battre contre mes kilos. Alors si ça peut vous aider, je vous soutiens également, pour chaque pas que vous faites vers votre " vie saine"...

 

Il y a un an, je venais de faire mon dernier voyage jusque chez mes parents.
Il y a un an, ma mère entamait son dernier voyage.

C'était un samedi, comme tous les samedis depuis 3mois, j'arrivais pour le week-end, jusqu'au lundi, pour relayer ma tante et ma soeur, afin qu'il y ait toujours quelqu'un avec maman. Nous savions depuis 3 mois qu'elle était condamnée. Elle avait été hospitalisée en urgence trois mois auparavant donc, on lui avait diagnstiqué un cancer du pancréas, avait subit une opération qui n'a servi à rien, trop de métastases, puis était rentrée à la maison pour y finir ses jours.
Nous avions installé un lit médicalisé à la maison, les infirmières passaient le matin pour les quelques soins, puis nous passions la journée et la nuit à ses côtés, pour l'accompagner.

Ce samedi là, quand je suis arrivée, maman était encore plus diminuée que la semaine précédente, quand je l'ai quittée. Chaque semaine je la trouvais un peu plus affaiblie, amaigrie. Mais là, c'était pire que tout. La nuit avec ma tante ne s'était pas très bien passée, ma tante n'est plus toute jeune non plus, et soigner un malade de cette façon demande un sang-froid inimaginable, il faut résister à la pression, rassurer, soutenir, nourrir, laver, sécher les larmes, ravaler les siennes, gérer les angoisses... Elle avait fini par craquer, et ma mère et sa soeur s'était disputées. Rien de grave, certes, mais j'ai trouvé ma mère anéantie en arrivant. Elle pleurait, paniquait, se plaignait de douleurs terribles.

Je me suis retrouvée seule avec maman, une fois le relais avec ma tante effectué, quelques minutes après mon arrivée. L'ambiance était lourde, la douleur de ma mère ne passait pas, aucun médicament, aucun massage n'en venait à bout. En début de soirée, nous avons fini par appelé le médecin de garde, qui a décelé une ou plusieurs côtes cassées à ma mère. Elle avait juste fait un faux mouvement en se redressant dans son lit le matin, et des côtes se sont cassées, trop attaquées par le cancer qui rongeait tout depuis des mois. Le médecin ne pouvait rien faire à part une piqûre de plus et proposer l'hospitalisation, qu'on a refusée. La nuit est venue lentement, une nuit blanche, d'angoisse, de pleurs, de peurs. Ma mère se réveillait toutes les demie heures, me réclamant à ses côtés. Elle avait une voix de petite fille. Je me rappelle avoir haussé la voix, pour lui dire d'essayer de dormir, de ne pas bouger, ne pas parler. J'étais morte de fatigue, je n'en pouvais plus de ce rythme incessant d'aller-retours chez elle, de cette pression quotidienne, cette attente horrible. Mais je n'avais pas réalisé que la fin était pour cette nuit là. Vers 5h du matin, elle s'est à nouveau réveillée, m'a demandé de prier avec elle, habitude peu commune pour ma mère. J'ai compris je crois à ce moment, et je lui ai demandé si elle voulait qu'on appelle le médecin, notre médecin de famille, et ami de mes parents, celui qui aiderait maman à partir sans douleur, à la fin. Elle m'a répondu oui d'une voix apaisée, presque soulagée. Une heure plus tard, il était là et lui fit sa première piqûre.

A partir de ce dimanche matin, maman a commencé à sombrer petit à petit. Les journées étaient rythmées par les visites du médecin. Elle dormait les 3/4 de la journées, se réveillait lorsque les médicaments ne faisaient plus effet et que la douleur réapparaissait. Toute la famille était là, et on guettait les réveils de maman pour pouvoir lui parler une dernière fois. Ses idées étaients de plus en plus floues. Le lendemain et surlendemain, elle ne pouvait plus échanger que 2 ou 3 mots, parfois sans queue ni tête.
Le 23 au soir, je ne tenais plus. J'avais été là depuis le samedi, j'avais appelé le médecin moi même, j'avais veillé toutes les nuits, j'avais tout assumé presque seule, il était tant pour moi de me reposer, juste un peu. Pour la première fois depuis des nuits, j'allais dormir ailleurs, chez ma soeur, avec ma chérie venue dire au revoir à ma mère. Le 23 au soir, je suis donc allée voir maman, seule. Je lui ai parlé, elle ronflait, ou râlait plutôt. Je préfère me dire qu'elle ronflait, ça me fait sourire, ça a toujours été quelque chose d'impressionnant les ronflements de ma mère! Je lui ai parlé quelques minutes, lui ai expliqué pourquoi je partais, mais qu'elle n'était pas seule, mon frère, mon père et ma tante étaient là pour la nuit, que tout irait bien. Je savais que je lui parlais pour la dernière fois. Je l'ai embrassée sur son front déjà froid. Je lui ai souhaité la plus longue et douce des nuits, je lui ai dit que je l'aimais, et alors qu'elle avait sombré depuis plusieurs heures sans réveil, sans réaction, elle a souri en réponse à mon je t'aime. Je sais qu'elle l'a entendu. Je ne sais pas par quel miracle elle a entendu, mais je connaissais ma mère, je sais que ce sourire là était une réponse, un "moi aussi", et pas une expression hasardeuse due à sa perte de conscience progressive. Non, elle a répondu en souriant.

J'ai eu le dernier échange avec elle. Le 24, à 7h du matin, alors que je dormais chez ma soeur, mon téléphone a sonné. C'était mon frère. Maman venait de partir.


Un an plus tard, je suis allongée sur mon canapé à écrire ses lignes. je suis presque autant fatiguée que l'année dernière. Les jours à venir vont être difficiles, ou peut-être pas. Il n'y a pas besoin de date pour pleurer.
J'aimerais, s'il vous plait, ne pas avoir de commentaire à cet article. Il n'a rien à faire là en fait, mais j'ai besoin d'écrire, besoin que vous lisiez, vous, inconnus virtuels, puisque la plupart de mes proches, famille et amis, ne me demandent rien. C'est ma thérapie. Enfin, une partie. Donc pas de commentaire, pas besoin de pitié, de "je suis désolé", ni de soutien, je n'en ai pas besoin, s'il vous plait. J'ai celui de ma chérie, qui me fait un bien fou, et celui d'une amie à qui je confie beaucoup de mes moments sombres. Ca me suffit.

Bonnes fêtes de fin d'année à vous tous, et profitez de ces heureux moments en famille, ils passent toujours trop vite.

Attirée par la bande annonce génialissime de Paranormal Activity (une caméra infrarouge filme les réactions des premiers spectateurs au cinéma, ils ont l'air horrifié, c'est assez impressionnant), je suis donc allée voir ce film il y a quelques jours.

Il est assez difficile pour nous de s'organiser pour un ciné, avec bébé à faire garder, nous avons donc choisi ce film en pensant ne pas être déçue (ça serait bête de voir un navet, alors qu'on se fait une toile une fois tous les 6mois...)

Et bien si, on a été carrément déçues! Le synopsis, sans vous divulguer tout le truc, au cas où vous iriez quand même le voir : un jeune couple pense que leur maison est hantée, ils décident donc de filmer 24h/24 ce qui se passe dans la maison, afin d'avoir des preuves.

Les points positifs du film :

les effets spéciaux, même s'il y en a peu, sont bien foutus. Tout réside en fait dans le suspens, la montée d'angoisse très progressive, (peut être un peu trop long à mon goût). Le réalisme est excellent, forcément, aucune scène cadrée, tout est vu de la caméra du couple. Zéro musique, zéro mise en scène, c'est beaucoup plus concret. Pas de délire mystique/religion/exorcisme, ce que j'ai craint un moment.

Les points négatifs maintenant :
Ce film n'est ni plus ni moins que le mélange parfait de "Blairwitch Project" (pour le côté caméra à l'épaule, pas de début ni de fin, juste un constat d'activité paranormale sur quelques semaines de la vie de ce couple) et de l'exorciste (pour la présence de fantôme, démon, et les mouvements typiques des personnages possédés)

En sortant de la salle, notre première réaction a été "bon, ça y est, nous ne sommes définitivement plus des ados!" Il m'est même arrivé de rire durant le film, pas de nervosité, mais vraiment parce que certaines scènes me semblaient ridicules.

Pour apprécier ce film donc, plusieurs conditions :
- avoir moins de 16 ans et être amateur de film frisson (avoir commandé le coffret "Saw" au père Noël)
- ne jamais avoir vu et/ou entendu parlé de Blairwitch Project et l'Exorciste
- avoir un humour second degré très poussé et prendre ce film comme une comédie!

Bonne séance!

Depuis le temps que j'en parle, ça y est, j'ai effectué ma première séance de Powerplate hier!

J'ai bien pris soin de demander conseil à mon médecin avant, pour mon problème de fracture de la maléole, toujours douloureuse : selon lui pas de soucis, juste arrêter si douleurs.

La Powerplate, kézako? Et bien c'est cet instrument de torture là, juste à droite. Une plateforme qui emet des vibrations de différentes intensités (en fonction des exercices et objectifs recherchés). On grime dessus, on se met en position (assis, debout, couché, sur une jambe, un bras...) et on vibre pendant 30 à 45 sec, puis on change de position!

Voici les effets de la fameuse powerplate :

Voilà, ça y est, c'est décidé, je reprends vraiment lundi prochain!
Enfin, lundi, nous serons encore en week-end avec ma chérie, à Paris, donc il est possible que je fasse encore quelques écarts, mais j'entends par "lundi" le début de la semaine prochaine!

J'ai décidé ça suite à plein d'événements, à mon cheminement depuis quelques semaines déjà, à l'idée de me mettre au powerplate dès que la saison de voile est terminée (ce qui sera le cas la semaine prochaine je pense, vues les températures...), avec le kilo et demi que je viens de reprendre après ce week-end entre amis vraiment très sympa, mais où je me suis goinfrée, y'a pas d'autres mots...

donc, finies les conneries, en plus, ça joue sur mon moral ("bouuuhhouu, jsuis qu'une grooosse meeeerrde..."), donc stop!
Chérie, fais-moi vite un gros gratin de patates aux lardons cette semaine, parceque ce sera le dernier avant l'année prochaine!!!